Le design est toujours une affaire d’artistes.
Le design est toujours une histoire de matériaux, de formes, de couleurs, de lignes…d’inspiration.
Pour l’artiste colombien Fernando Botero et ses sculptures, c’est souvent du bronze, pulpeux, noir, courbé, pleines d’énergie.
Pour Chilkoot et son « bovélo », c’est du carbone, nerveux, blanc, racé, plein d’énergie.
De Botero au « bovélo », du « Cheval » au « SXP1 », d’un artiste à l’autre, c’est l’histoire d’une rencontre, sur le port de la voisine Saint-Tropez.
Il n’y avait qu’un pas en effet pour Luc Royer au matin du 10 octobre 2010, d’autant que le 8 au soir, son ami et complice l’artiste « Tropez » (Axel Blanchet) découvrait le cadre CHILKOOT SXP1, véritable objet d’art "shapé" en Ubaye par Benoit et Fabien, à l’occasion de la « CHILKOOT ON THE ROC PARTY » tenue sur la terrasse avec vue d’une villa perchée du Canadel-sur-Mer.
L’aube n’était pas encore levée ce 10/10/10, le cheval n’était pas (encore ?) cabré (et sellé !!), et pourtant déjà le cadre CHILKOOT SXP1 semblait vouloir s’imposer sur le paddock de la piste UCI de SX et dans les allées du ROC comme l’élégante et audacieuse nouveauté de la scène du BMX Race.
Tout comme le sont les artistes et leurs œuvres d’art pour une époque et un public, il était important pour Chilkoot de proposer à la scène du BMX Race et à ses riders un cadre résolument novateur.
"Les artistes sont toujours des pionniers, parce qu’ils bousculent avec leurs convictions et réalisations les certitudes et habitudes des immobiles…"
