vendredi 29 avril 2011

[Best wishes]

























This week-end, "we're all some British people" !

Best wishes of happiness, from the french (and british ?) Chilkoot BMX Racing Team, to Kate & William !

jeudi 28 avril 2011

[Chilkoot makes the headlines]














Greg Gilson et son cadre en carbone CHILKOOT Supercross SXP1 font la Une outre-Manche !
Une superbe couverture tout de bleu - blanc - rouge vêtue, très "patriot & racing style" pour le N°2 de l'excellent magazine anglais 100% Bicycle Motocross Twenty24 avec en prime à l'intérieur une interview de notre Conseiller technique et pilote d'essai alias "G MAN" tel que l'ont surnommé les British Riders présents à Carpentras fin février dernier, spectateurs enflammés du premier 3.6 de l'histoire d'un cadre en carbone de BMX... Conquis, par l'homme et sa machine.

Et dire que cette première couverture médiatique nous est offerte avec générosité, passionnément, par un support anglais sans qu'à date le moindre support français n'ait même pris le temps de s'intéresser à l'initiative CHILKOOT.
Qui de l'oeuf ou de la poule, qui de la pub ou de l'information ?

Je commence vraiment à comprendre pourquoi c'est Londres qui a été choisie pour acceuillir les JO de 2012 plutôt que Paris.
Pas étonnant au final que les anglais nous appellent "frogs" !

Thanks a lot to our British friends and yes, "BMX racing is alive" !

http://www.facebook.com/pages/TWENTY24-BMX-MAGAZINE/118058941546999

[Supertrail et Supercross]


















Les cadres CHILKOOT du millésime 2011 s’étaient donnés rendez-vous à Grabels, c'est-à-dire sur un champ de bosses.

Cr-mo donc avec le Supertrail mais aussi carbone avec le Supercross (SXP1).
Bilan de cette rencontre, de ce face à face : les deux fonctionnent à merveille comme nous en font la démonstration les deux pilotes éclectiques du Team, Greg Gilson et Emilien Chiron.

Faciles même à les voir ainsi chalouper !






[Jeux interdits vs. champ libre]


















Pour le rider (plus ou moins jeune, expert ou débutant) qui souhaite s’adonner au plaisir du dirt, trois formules s’offrent à lui :

1> il fonce droit dans un bike park, règle son droit d’entrée et jouit à sa guise (en théorie !) des lignes et modules construits et entretenus pour son seul plaisir,
2> il possède un terrain suffisamment vaste, creuse, shape puis jouit avec ses potes de son trail privé (dont il ferme ou non l’accès à « autrui » au moyen de chaînes…)
3> il ne possède pas un terrain suffisamment vaste, donc recherche, trouve puis « squatte » un terrain adapté à son projet avant là encore de creuser, shaper puis jouir avec ses potes de "son" trail (éphémère ? – c’est le risque -) dont il(s) ferme(nt) ou non l’accès à « autrui » au moyen de chaînes…

Pour tenter de faire un choix parmi ces trois formules, méditons quelques instants autour des expressions suivantes, bien connues :

1> « le client est Roi »
2> « On est jamais mieux servi que par soi même »
3> « Pour vivre heureux, vivons cachés »

Une récente expérience languedocienne me conduit à avancer des réponses personnelles :

Dans le cas 1, vous vous exposez (contre toute attente) à vous voir interdire l’accès non pas en raison de chaînes « anonymes » mais en raison d’un jugement hâtif et sans appel du gardien (Maître) des lieux sur les dégâts (très relatifs) consécutifs à votre premier usage (bien qu'en règle) de tout ou partie des modules. (C’est un peu comme sur l’autoroute lorsque l’on passe la journée dans les embouteillages en raison de zones de travaux interminables, avec des aires saturées, des sorties fermées, alors que les tarifs de péage restent au prix fort bien que la prestation d’un voyage « rapide et confortable » n’ait pas été offerte en contre partie par l’exploitant...et le comble serait que ce dernier vous reproche en plus d’avoir abimé l’enrobé des voies de circulation ou suivi des trajectoires discutables).
En résumé, le client n’est que très rarement Roi, il est plutôt le banquier…

Dans le cas 2, vous vous exposez à vous couper du monde, à tourner en rond, à créer un microcosme tel un labyrinthe dont on ne sort jamais grandi car la richesse, le dépassement de soi nous viennent des autres, toutes celles et ceux qui nous tirent vers le haut.
En résumé, se servir soi-même c’est bien mais c’est limité, voire petits bras. Mieux vaut avoir « Le goût des autres », c'est-à-dire celui du partage.

Dans le cas 3, vous vous exposez à voire votre œuvre collective subitement « rasée ». Dites-vous bien que l’art est par nature éphémère mais qu'il marque les esprits. Comme on façonne une bosse de dirt, comme on trace sa ligne, on trace son chemin et par nature son bonheur, car le bonheur c’est le chemin parcouru, rarement le sommet. Un célèbre « voyageur des pays d’en haut » (Nicolas Vanier) m’avait écrit un jour que « l’on ne gagne vraiment que le temps perdu en chemin ». Dans le propos du jour, je suis intiment convaincu que l’on ne gagne vraiment que le temps passé à pelleter dans la continuité des passages, des rencontres, des liens créés.
En résumé, vivons heureux certes mais pour cela encore faut-il accepter dès le départ d’être découverts (dans tous les sens du terme) plutôt que cachés.

Alors « Jeux interdits » ou champ libre ?
En ce qui me concerne, j’opte clairement pour le champ libre, le seul qui permette vraiment – au contact des autres, à la sueur des fronts et dans la mélodie des grillons et oiseaux - de « gagner le temps perdu en chemin ».


















Au titre de mot(s) de la fin, je vous invite à lire (ou relire) la rubrique « Patocherie » en page 20 du magazine A.R.T. N°1 actuellement en kiosques. Une rubrique et en l’occurrence un texte disert de Monsieur Patrick Guimez sur le sens du mot « freestyle ». Free ? Encore faut-il être capable et désireux de « s’ouvrir aux autres ».
Les quoi ? Les autres…vos frères d'Armes.

L'Arme de Paix(1)...

Chilkoot Easter BMX Trip 2011
De Lagamas à Grabels

"Il est libre Greg, y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler"(2)...

(1) L'Arme de Paix - une chanson et un album d'Oxmo Puccino - 2009
(2) Il est libre Max - une chanson d'Hervé Cristiani - 1981

[Chilkoot funambules]


















Emilien Chiron et Greg Gilson en mode funambule à Grabels avec même une tentative de nose ride sur le fil de Mister « G Man » aux commandes de son cadre signature.

[Easter BMX Trip - Grabels]




















Privé en raison de traces interdites (« de chaussures et de pneus fins » et d’un bivouac sur un parking aux faux airs de terrain vague) d’une deuxième session du côté de Lagamas, le Chilkoot Crew termine son trip le mardi 26 avril par une longue free session sur le mythique trail de Grabels.
Ayant pris le temps là aussi de nous annoncer à l’avance et chaleureusement invités en retour « à en profiter » (le champ de bosses devant être très prochainement rasé, 10 ans après les premiers coups de pelles, par le propriétaire du terrain), le champ libre est donné à chacun pour qu’il s’inscrive en toute liberté dans un ultime champ des possibles.











Dieu merci, pour ces ultimes runs, point de grabuge à Grabels.
Spéciales dédicaces donc de la part de tout le Chilkoot Crew aux shapers anonymes ainsi qu’au propriétaire du lieu pour avoir donner « le champ libre » près de dix ans durant aux trailers et riders de tous âges et de tous horizons. Merci Monsieur !

Aux dernières nouvelles, il paraitrait qu’un Grabels « Revival trail » soit déjà en construction un peu plus bas, sur d’autres terres.
Décidément, la vie n’est qu’éternel recommencement…surtout pour les vrais passionnés !










[Chilkoot The Wall]





















Greg mais aussi Simon et Dimitri…on the wall.
Chilkoot The Wall « en concert », un lundi de Pâques, à Sète.


[Easter BMX Trip – Sète]


















Quoi de mieux pour finir la première journée de cet Easter BMX Trip 2011 que de s’offrir une ultime session de riding. Ce sera donc du park, à Sète, en private session, le park étant étonnement désert en cette fin de journée d’un long lundi de Pâques…




[Easter BMX Trip – Frontignan]


















Après du dirt, du park, place à un peu de race !

Avec toujours un peu d’avance sur la descente du rideau noir de l’orage, le Chilkoot Crew adopte en fin de journée, non sans plaisir, la tenue officielle du Chilkoot Racing Team.

Ci-dessus, les trois « kids » écoutent attentivement leur coach afin de travailler jusqu'à la perfection, sauts, enroulés et autres enchaînements sur la piste de Frontignan. L’orage tourne tout autour épargnant le blanc immaculé des maillots à bande tricolore frappés des numéros 10 (Dimitri Royer), 42 (Greg Gilson), 47 (Simon Chapelet) et 89 (Maxence Chapelet)…




[Easter BMX Trip – Poussan]















Après avoir quitté Lagamas et tenté de fuir l’orage, le Chilkoot Crew fait escale, pour le goûter, dans le park du petit village de Poussan.

Brève escale toutefois car l’orage (et ses pluies) nous rattrape(nt), descendant lentement son rideau noir vers le littoral languedocien, mais escale tout de même, le temps d’envoyer quelques transferts et de « pousser » quelques tricks sur cet excellent park, lové entre village et vignes.



[Easter BMX Trip – Ridekore]


















Bike Park « Ridekore », à Lagamas, ou la première étape de ce trip pascal, lundi 25 avril, de 11H30 à 15H00 (pour cause d’orage rendant caduque toute velléité de riding sur terre…glissante à meuble. Après avoir acquitté ses droits d’accès (10 € / personne), le Chilkoot Crew s’élance rapidement sur les différentes lignes de dirt. Greg Gilson roule souvent en tête aux commandes de son Supertrail Signature suivi de près par les « Makélélés » Maxence et Simon Chapelet aux commandes respectivement de leur Crupi et Redman de race. Dimitri Royer choisit quant à lui de s’exprimer avec son fidèle 16" customisé sur des lignes de dirt plus sages ainsi que sur l’excellent pump track « aux finitions proches d’un parcours de golf » comme le spécifie le magazine Big Bike (N°62 – Avril-Mai 2011) dans son dossier complet de présentation de ce « park nommé plaisir ».
« A chacun son Everest » comme aime à le dire l’ancienne himalayiste Christine Janin et des montagnes ici, effectivement, il y en a pour « tous niveaux ».
Le moins que l’on puisse dire c’est que jusqu’à ce que le ciel ne leur tombe sur la tête (l’orage menaçant finit par gronder puis déverser une pluie soutenue), tout le monde semble s’être éclaté au point de vouloir y revenir. Un seul regret à l’heure du départ imposé, surtout pour Dimitri : celui d’un bac à mousse resté désespérément bâché alors que le soleil était radieux depuis le début de matinée…




[Easter BMX Trip – The crew]


















L’équipage du Chilkoot Easter BMX Trip était composé de Greg Gilson (27 ans) – Conseiller technique, pilote d’essai de la marque et pilote officiel du Team en catégorie 25-29 ans -, de Maxence Chapelet (11 ans), de Simon Chapelet (9 ans), de Dimitri Royer (8 ans) et pour l’après-midi du mardi au champ de bosses de Grabels d’Emilien Chiron (21 ans) – Pilote officiel du Team en catégorie Elite 1.

Un sacré équipage qui aura donné deux jours durant dans la passion, le plaisir, la création et la franche rigolade tout en envoyant, chacun à son niveau, du lourd…

Ci-dessous, Greg Gilson, Maxence Chapelet, Simon Chapelet, Dimitri Royer et Emilien Chiron (présent sur l'étape du Trail de Grabels)






[Easter BMX Trip 2011]


















CHILKOOT a réalisé son tout premier BMX Trip au lendemain du dimanche de Pâques (lundi 25 et mardi 26 avril). Pour cette première (courte) tournée, le concept était simple : transmettre à une poignée de jeunes riders et aiguiser plus encore chez eux la passion, le plaisir et la création du riding, fondamentaux à valeur de sens et d’essence pour la marque au musher-rider sans visage.

Tôt le lundi de Pâques, le « little crew » CHILKOOT a donc pris la direction du département de l’Hérault et plus précisément du village de Lagamas afin de découvrir et de s’épanouir sur le « Bike Park » Ridekore (www.ridekore.com) présenté dans le N°62 du magazine Big Bike (actuellement en kiosques) comme « l’un des meilleurs spots de VTT alternatif français » sous le titre « Ridekore : Un park nommé plaisir »…pratiqué pour nous à 20" et même 18 et 16".
Les étapes suivantes furent l’excellent park de Poussan, la piste (de race) de Frontignan, le park de Sète et enfin le champ de bosses de Grabels.